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À quoi tient la réussite ou l’échec ?

Pendant longtemps l’idée la plus répandue fut que la réussite nécessitait d’être douée d’intelligence, d’où l’intérêt tout particulier des chercheurs et psychologues à cette caractéristique.

 

Faut-il être surtout intelligent ?

 

 

Autrement dit, on a accordé à tort ou à raison, la responsabilité majeure de la réussite ou l’échec des personnes à  leur facultés mentales. Néanmoins, un problème subsistait, puisqu’il fallait déjà s’entendre sur ce qu'était « l’intelligence ». Sa définition variera en fonction des auteurs, leurs théories et leurs champs de recherche.

Cette aptitude, fut d’ailleurs à cette occasion l’objet de toutes les attentions et de nombreuses recherches. Elle fut étudiée, théorisée et mesurée. Pour son origine, elle fut attribuée tantôt aux gènes, tantôt au milieu. Mais aujourd’hui, et comme c’est le cas pour nombreuses autres qualités personnelles, on s’accorde à estimer qu’elle est le résultat d’une interaction entre gènes et environnement.

 

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Rappelons que le premier test d’intelligence, officiel et reconnu par les institutions académiques françaises fut le test Binet et Simon. Destiné au départ à évaluer des enfants en situation de difficulté scolaire, il a été élaboré en 1905 par le psychologue français Alfred Binet et le psychiatre Théodore Simon.

Pour Binet l’intelligence serait un ensemble de fonctions qui permettent l’adaptation à des situations nouvelles. Les fonctions en question : la direction (qui oriente l’activité), la compréhension, l’invention et la critique.

 

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Néanmoins, beaucoup de psychiatres et de chercheurs estimeront que la théorisation de l’intelligence faite par Binet, ainsi que son test, restent insuffisant pour évaluer l’intelligence, qui selon eux est bien plus complexe. Sachant que ce test est basé sur l’âge mental, d’autres ont considéré qu’il mesurait davantage le développement d’un enfant que les capacités intellectuelles.

Plus consensuelle, l’intelligence serait la capacité à résoudre des problèmes. Les problèmes ici peuvent être de toute nature et dans tout domaine (social, professionnel, scolaire, sentimental…).

 

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Intelligence émotionnelle

 

Mais aujourd’hui on parle davantage de QE que de QI quand il s’agit d’évaluer des performances. Le quotient intellectuel n’explique plus ou peu la réussite ou l’échec éventuel à un test, ou pour la résolution d’un problème donné et ce quelque soit sa nature.

On s’intéresse désormais aux émotions car on a observé que leur qualité, intensité, expression, influaient le comportement des personnes dans certaines situations en particulier. La peur, le trac, la colère, sont ainsi autant d’émotions qui peuvent impacter nos décisions, nos réponses et mêmes nos pensées.

 

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Le psychologue américain Daniel Goleman, en s’appuyant sur 126 études réalisées sur 36000 élèves avait démontré que les plus anxieux avaient un taux d’échec supérieur aux autres lors d’examens. A cette occasion, il expliqua que cette notion d’intelligence émotionnelle fait référence à la faculté de maîtriser nos pulsions émotionnelles, de percevoir les sentiments les plus infimes d’autrui et d’entretenir des relations harmonieuses.

L’intelligence émotionnelle ou "quotient émotionnel "(QE) intéresse de plus en plus le monde du travail. Il semblerait que cette forme d’intelligence ou aptitude influence la rentabilité et la productivité. D’autres domaines comme l’éducation et l’apprentissage y voient un intérêt, notamment sur l’explication de l’échec scolaire.

 

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L’intelligence émotionnelle serait liée à d’autres compétences situées sur deux dimensions :

Mais une intelligence plus globalisante peut être également définit comme une résultante de différentes capacités, ou comme la simple juxtaposition de certaines caractéristiques mentales cognitives ainsi qu'émotionnelles.

Ainsi, pour réussir un test, un projet ou même résoudre un problème donné il est essentiel de prendre en compte la part de l’influence de ses émotions. Savoir les gérer, repérer leur impact sur nos comportements et décisions du moment, ainsi que leur expression, peut aider nombreuses personnes à dépasser les obstacles éventuels et surmonter leur difficulté.

Lynda Maloufi

 


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